À chaque début de mandature, l’éducation permanente fait parler d’elle. Sans doute parce qu’elle est une des formes les plus abouties de la liberté associative et de la démocratie culturelle. Nous souhaitons désamorcer les tensions qui traversent les négociations politiques en cours.
Une opinion de Farah Ismaili, directrice de la FESEFA, dans La Libre.